2012 en 5 vins | Enzo Boglietti Barolo Fossati 2005

Des bouteilles qui nous permettent de replonger dans des souvenirs en plus d’offrir un grand moment dans le verre, on n’en croise pas tous les jours. C’est justement ce qui s’est passé avec cette bouteille du Barolo Fossati 2005 d’Enzo Boglietti.

Barolo Fossati Enzo Boglietti

Ramenée de mon voyage au Piedmont en 2009, où on a séjourné au Pilone Votivo, un superbe agriturismo  propriété de la femme d’Enzo Boglietti. Avant notre départ, on se rend au vignoble à La Morra, où on est reçu par M. Boglietti. Au menu, dégustation des crus du domaine et c’est le Fossati qui s’est démarqué et qu’on a décidé de ramener.

La bouteille est restée bien à l’horizontale pendant quelques années jusqu’à ce qu’on se joigne à la dégustation Kick My Glass en janvier. Le concept est tout à fait amusant: on se rejoint dans un restaurant apportez votre vin avec une bouteille de vin a l’aveugle. Les participants dressent alors leur top 3 au courant de la soirée et le gagnant se fait payer le lunch par les autres…!

Carafé préalablement pendant 3 heures, le vin s’est montré sous son meilleur jour et même si on l’a servi à l’aveugle, il a ressorti du lot malgré la compétition intense auquel il a fait face. Dans le continuum entre producteur “modernes” et “traditionnels” à Barolo, Boglietti est fermement du côté des modernes. Le vin toutefois ne manque pas d’élégance et de complexité

Si vous voulez mettre la main sur cette bouteille, c’est directement au domaine pour environ 35 euros à l’époque. Au moment d’écrire ces lignes, une succursale de la SAQ à Laval a 10 bouteilles en main, pour 84$ chacune.

Une superbe bouteille, qui nous a ramené en Italie et qui nous a payé un souper!

Une bouteille qui vient de loin – Enzo Boglietti Fossati 2005

Cette semaine, je renoue avec un événement vini-virutel auquel je n’ai pas participé depuis un certain temps: les Vendredis du Vin. À chaque dernier vendredi de chaque mois, des blogueurs partagent des notes de dégustation de vins et des découvertes, sur un thème sélectionné par le blogueur-président du mois. J’ai même agit comme président pour l’édition 21, qui invitait les blogueurs à découvrir un vin d’un pays plutôt méconnu, vous pouvez même vous replonger dans la synthèse, présentée directement sur la carte.

Ce mois-ci, le président du mois, Guillaume Nicolas-Brion du Blog Du Morgon dans les veines nous invite à partir en voyage et redécouvrir un vin qui nous a charmé lors d’un voyage. Encore le thème du voyage et de la découverte, décidément, on ne s’en lasse pas!

Juillet 2009. Notre parcours de vacances nous amène dans le nord de l’Italie, dans le petit village de Sinio, tout juste à l’extérieur de l’appellation de Barolo. Pour deux jours, visites de producteurs, balades dans les vignes et quelques bouffes mémorables. Le soir, hébergement au Pilone Votivo, agriturismo d’Enzo Boglietti, un producteur piémontais que je ne connaissais pas avant notre visite.

Il Pilone Votivo
Il Pilone Votivo

La journée de notre départ, on rend visite au domaine. Les installations sont modernes, la maison dans laquelle nous sommes reçus semble être tirée d’un magazine de décoration italien. Nous avons la chance de goûter plusieurs vins du portfolio, dont ses crus Fossati, Case Nere et Brunate. Coup de coeur pour le Fossati, qui était encore un bébé dans le millésime 2005 alors que le millésime 2001 montrait toutes les qualités d’un beau Barolo en jeunesse. Allez, hop! Un Fossati 2005 fait le saut au Québec, où elle dormait patiemment depuis ce temps.

Enzo Boglietti Fossati 2005
Enzo Boglietti Fossati 2005

Samedi dernier, dans le cadre d’une sympathique dégustation entre amis de Fouduvin.ca, je décide que ce Barolo sera notre offrande. À l’ouverture, le nez est déjà expressif mais la bouche est extrêmement compacte et les tanins sont sévères. Un tour en carafe de près de trois heures a su l’assouplir. Le nez est toujours puissant et complexe: fruits en abondances, tabac, caramel, romarin avec une pointe d’épices. On retrouve une bouche toujours droite et une finale d’une longueur impressionnante. Servi à l’aveugle dans un alignement de haut niveau, le charme opère encore.

Le nez dans le verre, je sens les collines des Langhe, la chaleur du Pilone Votivo et le plaisir d’être en voyage dans une région merveilleuse.

Un peu de lecture pour les Fêtes

Le temps des Fêtes invite à la relaxation, à la farniente et à passer du temps sur le sofa (ou dans mon cas, au café…) à faire le tour des liens intéressants proposés par mes amis sur Twitter. Voici donc quelques articles choisis pour vous alimenter durant ce temps d’arrêt…

Sur The Blend Blog, on retrouve un aperçu des vins du millésime 2007 en Barbaresco, 2006 en Barolo et des vins de la maison Pio Cesare en particulier, tiré d’une récente chronique du Wine Spectator. On peut penser ce qu’on veut de l’échelle de pointage proposée par ce magazine, on trouve ici un bon survol de ce qui sera offert dans la région.

Pendant les festivités entourant le Nouvel An, on est susceptible d’ouvrir quelques bouteilles de mousseux. Alors que la méthode d’ouverture de la bouteille m’est maintenant évidente, le verre dans lequel on doit servir le Champagne fait présentement l’objet de discussions… Traditionnellement servi dans des flûtes, de plus en plus de sommeliers préfèrent le servir dans un verre évasé. Deux articles vus récemment traitent de ce sujet: dans Cyberpresse et dans Sommelier Journal (une publication trimestrielle particulièrement intéressante!)

Chez Joe Roberts, de 1winedude, on se questionne sur le marketing des vins portugais, qui misent à fond sur le Touriga Nacional. Je suis d’accord avec son point de vue et crois aussi que l’identité des vins portugais pourrait être mieux affirmée qu’en construisant uniquement autour d’un seul cépage. Qu’en pensez-vous?

Finalement, puisque temps des Fêtes rime habituellement avec excès culinaires, deux liens de bouffe pour terminer. Pour 46% des Italiens, l’identité nationale passe par leurs repas (ici, en italien). On se souhaite que la gastronomie soit aussi imbriquée dans notre culture…! Finalement, lorsqu’on a trop mangé et qu’on veut une petite recette rapide entre deux festins de Noël, on fait comme Francis Laplante sur TranchedePain.com et on cuisine des pâtes à la saucisse et aux épinards de Josée di Stasio. Avec un vin blanc bien riche le suggère Hélène Dion de buvezentous, ou avec une belle Barbera piémontaise… Mioum!

Dégustation Cellier – Les beaux barolos 2004

Lors du dernier arrivage Cellier, surnommé Objectif Monde, les arrivages était plutôt hétéroclites. Toutefois, neuf de ces vins étaient issu de l’appellation Barolo, au nord-ouest de l’Italie.

Située au sud d’Alba, la zone d’appellation contrôlée (DOC) du Barolo a tété établie en 1966, bien que des vins sont faits dans cette région depuis la nuit des temps. Ce n’est toutefois qu’au milieu du 19e siècle, avec le comte de Cavour, que la région a acquis ses lettres de noblesse.

La DOCG de Barolo couvre maintenant 1200 hectares, réparties entre près de 130 producteurs différents. On retrouve donc trois types d’appellations: les barolos génériques, les appellations communales et les crus. En passant d’une catégorie à une supérieure, les raisins viennent d’une zone toujours plus délimitée. Par exemple, les raisins dans un Barolo générique peuvent venir d’un peu n’importe où dans l’appellation, ceux d’un vin de Serralunga d’Alba viennent autour du village du même nom, tandis que les raisins composants un Brunate viennent d’une petite pente située à 1200 pieds d’altitude au sud du village de La Morra.

Dans le Piedmont, l’année 2004 est qualifiée de grand millésime par plusieurs. Robert Parker, dans The Wine Advocate, donne une note générale de 96 points au millésime, Decanter donne 4 étoiles et Wine Enthusiast donne 93 points. Inutile de dire que les vins sont dégustés en jeunesse, alors que les Barolos sont souvent appelés à vieillir plus de 10 ans avant de livrer tout leur potentiel.

Barolo, Beppe 1977@Flickr.com
Barolo, Beppe 1977@Flickr.com

En ce sens, on est alors très proche de la Bourgogne, avec ces vignobles morcelés en différentes appellations et producteurs. Les vins sont aussi dans l’esprit bourguignon. Pour reprendre les mots d’Andrea Sottimano, producteur dans L’appellation Barbaresco, toute proche: “On est capable, les Bourguignons et nous, de vivre avec cette couleur pas trop soutenue: on préfère la finesse et l’élégance à la puissance“.

Les Barolos de l’arrivage Cellier de la SAQ représentent bien cet aspiration à la finesse plutôt que la recherche de la puissance à tout prix. Les vins commentés ont été dégustés à l’occasion d’une dégustation thématique en prévision de l’arrivage Cellier, organisée par le dynamique Jean-Pierre Lortie de la succursale Jean-Lesage, à Québec.

On ne se concentre ici que sur les 5 que j’ai trouvé les meilleurs. Les autres, bien que bons, n’étaient pas selon moi aussi bien faits que ceux présentés ci-dessous. Le Beni de Batasiolo, le moins cher de l’arrivage, paraissait effectivement le plus simple tandis que le Monprivato Mascarello, le plus cher de l’arrivage à 122$, ne m’a pas du tout plu avec un nez faisant penser à la moufette.

    • Cerequio Michele Chiarlo Barolo 2004 – 75,00 $

L’un des deux crus de Michele Chiarlo présentés dans cet arrivage et de manière générale, le vin le mieux fait de l’arrivage. Finesse, élégance, beaux tannins serrés, fruit pur, cerise et cassis, fait pour la longue garde mais tout de même agréable dès maintenant: tout y est. Bravo. [rating: 4.5/5]

    • Ornato Pio Cesare Barolo 2004 – 95,00 $

La cuvée haut-de-gamme de Pio Cesare, un cru situé près de Serralunga d’Alba, au sud-est de l’appellation. Les vins issus de cette commune sont habituellement un peu plus concentrés en raison du terroir un peu moins fertile. L’Ornato de Pio Cesare n’en est toutefois pas un monstre de concentration. Des belles notes de cuir et de prune et les éternels tanins du Barolo rendent ce vin particulièrement agréable. [rating:4/5]

    • Monvigliero Mauro Sebaste Barolo 2004 – 40,75 $

Un cru mineur, situé dans l’extrême nord du Barolo, nous offre LE rapport qualité-prix de cet arrivage. Coté à 94 points par Wine Spectator, on comprend pourquoi lors de la dégustation. Assez moderne et très accessible malgré son jeune âge, c’est le vin que je recommanderais pour découvrir (ou faire découvrir) l’appellation. Très réussi. [rating:4/5]

    • Brunate Michele Chiarlo Barolo 2004 – 64,00 $

Le second cru de Michele Chiarlo offert lors de cet arrivage, il m’a semblé légèrement plus fermé que le Cerequio. Il a un peu souffert de la comparaison puisqu’il a été servi immédiatement après le Cerequio. Tout de même, il s’agit d’un beau Barolo au profil plutôt classique avec des notes de tabac, de cuir avec des accents fruités. [rating:3.5/5]

    • Pio Cesare Barolo 2004 – 57,00 $

Servi à l’aveugle, le détenteur de la 6e position du dernier palmarès Top 100 du Wine Spectator, n’a cessé d’évoluer au courant de la soirée. On a tout d’abord identifié le nebbiolo, mais la concentration du vin faisait penser qu’on pourrait plutôt y trouver un peu de barbera. au courant de la soirée, le nez a évolué pour finalement ressembler pas mal à celui de l’Ornato de la même maison. Mérite les critiques élogieuses qu’il a reçu. [rating:4/5]

Arrivage Cellier Mai 2009 – Objectif Monde

Photo par Marianne Perdomo @ Flickr
Photo by by Marianne Perdomo @ Flickr
Des détails commencent à filtrer pour le prochain arrivage Cellier, prévu à la fin mai et au début juin 2009. La thématique abordée lors de cet arrivage principalement concentrée sur les États-Unis, le Barolo et le Riesling. De plus, le premier arrivage comporte aussi trois belles verticales (plusieurs millésimes du même producteur).

Les arrivages Cellier permettent de découvrir des nouveaux produits, car il s’agit de produits qui ne sont pas nécessairement offerts de manière régulière. Au début de ces types d’arrivages, les numéros étaient principalement centrés sur une région en particulier. Toutefois, depuis quelques arrivages, on note une multiplication des thèmes: des numéros moins concentrés, mais avec une plus grande diversité.

Observons ce qui s’en vient dans le prochain arrivage…

Etats-Unis

Lorsque le thème des États-Unis a été connu, plusieurs espéraient une sélection des beaux pinots produits dans l’Orégon et dans l’état de Washington, trop peu représentés à la SAQ. On y retrouve plutôt une sélection de vins californiens, représentant une belle palette des terroirs du nord de la Californie. Le point de mire de cet arrivage est Le Petit Vice, vinifié par le Québécois Patrick Breton, qui jouit d’un buzz favorable en raison de la qualité de ses produits.

Arrivage le 21 mai

  • Le Petit Vice Northern California 2005 – 60,50 $
  • Grenache Austin Hope Paso Robles Californie 2006 – 43,50 $
  • Cabernet-Sauvignon Arrowood Sonoma County Californie 2004 – 70,50 $
  • Chardonnay Paul Hobbs Russian River Californie 2006 – 75,75 $
  • Pinot noir La Bauge Au-Dessus Santa Maria Valley Californie 2006 – 52,50 $

Arrivage le 2 juin

  • Justin The Orphan Paso Robles Californie 2007 – 25,90 $
  • Viognier Cline Cellars Californie 2007 – 19,60 $
  • Zinfandel Ancient Vines Cline Cellars Californie 2007 – 24,15 $
  • Pinot noir Sebastiani Sonoma Coast Californie 2007 – 25,50 $
  • Chardonnay Schug Carneros Californie 2006 – 39,25 $
  • Pinot noir Calera 30th Anniversary Ryan Vineayrd Mt. Harlan 2005 – 59,50 $
  • Chardonnay Calera Mt. Harlan Californie 2006 – 39,00 $
  • Pinot noir Bergstrom de Lancel lotti Vineyard Orégon 2006 – 79,00 $
  • Cabernet-Sauvignon Philip Togni Napa Valley 2003 – 155,00 $

Riesling du monde

On dit parfois que le Riesling est une “éponge à terroirs” et j’anticipe que cette caractéristique soit mise en évidence dans cette sélection de Riesling du monde. J’aimerais bien profiter de l’occasion pour m’initier aux vins allemands, présents principalement dans l’arrivage du 2 juin.

Arrivage le 21 mai

  • Domaene Gobelsbrug Riesling Kamptal Qualitätswein Trocken2007 – 19,00 $
  • Riesling Cooper’s Creek Malborough 2007 – 19,70 $
  • Riesling B3 Eden Valley 2007 – 21,55 $
  • Riesling Château des Charmes Niagara-on-the-lake 2006 – 18,70 $
  • Riesling Snoqualmie Winemaker’ s Select Columbia Valley 2006 – 14,95 $
  • Riesling Chateau Ste-Michelle Indian Wells Columbia Valley 2007 – 19,95 $

Arrivage le 2 juin

  • Riesling Kirchberg de Barr Willm Alsace grand cru 2007 – 24,70 $
  • Riesling Goldert Gueberschwihr Alsace grand cru 2007 – 33,25 $
  • Selbach Riesling Qba Mosel-Saar-Ruwer 2007 – 15,15 $
  • Domäne Wachau Riesling Terrassen Federspiel 2007 – 20,00 $
  • Wehlener Sonnenuhr Riesling Spätlese Kerpen M-S-R 2007 – 25,00 $
  • Ürzige Würzgarten Riesling Kabinett Qmp Mönchhof M-S-R 2007 – 25,10 $
  • Riesling Mader Rosacker Alsace grand cru 2007 – 38,75 $
  • Riesling Lamoreaux Landing Finger Lakes New York 2006 – 21,50 $
  • Riesling Hermann J. Wiemer Finger Lakes 2006 – 26,30 $
  • Mussbach Riesling Kabinett Qmp Müller-Catoir Pfalz 2007 – 29,95 $
  • Riesling Gun Metal Hewitson Eden Valley 2007 – 23,50 $
  • Riesling Hengst Alsace grand cru 2004 – 49,50 $

Verticales

Ces trois séries de produits seront disponibles dans l’arrivage du 21 mai. D’ailleurs, une dégustation est organisée à la SAQ Jean-Lesage afin d’offrir la chance de déguster tous ces vins à la fois…

Querciabella Chianti Classico

Vignoble en biodynamie de Toscane, on a ici leur cuvée Chianti Classico. Le domaine a eu de très bonnes critiques de la presse spécialisée.

  • Millésime 2006 – 30,25 $
  • Millésime 2004 – 33,50 $
  • Millésime 2000 – 48,75 $
  • Millésime 1997 – 78,00 $

Château Potensac Médoc cru bourgeois

Cru Bourgeois très réputé, le Château Potensac appartient au même propriétaire que le célèbre Léoville-Las-Cases et y récupère les barriques après qu’elles aient servi à un millésime.

  • Millésime 2003 – 67,00 $
  • Millésime 2000 – 77,75 $
  • Millésime 1996 – 74,50 $
  • Millésime 1995 – 67,00 $

Château Montus Cuvée Prestige Madiran

Cuvée haut-de-gamme d’Alain Brumont, probablement le producteur le plus connu de la région. Faite exclusivement de tannat et entièrement en barriques neuves, les notes de dégustation glanées sur internet pointent vers un vin puissant, typique de madiran.

  • Millésime 2000 – 144,00 $
  • Millésime 1996 – 116,00 $
  • Millésime 1995 – 116,00 $
  • Millésime 1990 – 144,00 $

Rosé

Le printemps s’en vient, et ça paraît avec cette sélection de vins rosés. Il s’agit de manière générale de produits d’une gamme un peu plus élevée que les rosés typiquement présentés au répertoire général pendant l’été. Il sera bien de voir un peu de variété dans cette catégorie de produits.

Arrivage le 21 mai

  • Scalabrone Bolgheri Rosé 2008 – 20,75 $
  • Guigal Côtes du Rhône Rosé 2007 – 18,30 $
  • Château d’Aqueria Tavel Rosé 2008 – 19,90 $
  • Bourgogne Pinot noir Rosé Jean -Marc Brocard 2007 – 20,60 $
  • Les Baronnes Sancerre rosé 2007 – 25,00 $
  • Le Rosé de Malartic Bordeaux rosé 2008 – 18,90 $
  • Castello di Ama Rosato Toscana i.g.t. rosé 2008 – 20,45 $

Barolo

Souvent réputés pour être durs et austères, les vins de la région de Barolo ne font certainement pas de compromis pour plaire à un plus grand nombre. On note deux vins de Michele Chiarlo, un producteur que j’apprécie particulièrement ainsi qu’une cuvée haut-de-gamme de Pio Cesare, un des plus gros producteurs de la région.

Arrivage le 2 juin

  • Cerequio Michele Chiarlo Barolo 2004 – 75,00 $
  • Ornato Pio Cesare Barolo 2004 – 95,00 $
  • Monprivato Mascarello Barolo 2004 – 89,00 $
  • Beni di Batasiolo Barolo 2004 – 30,25 $
  • Monvigliero Mauro Sebaste Barolo 2004 – 40,75 $
  • Aurelio Settimo Barolo 2004 – 40,75 $
  • Serralunga Paolo Manzone Barolo 2004 – 58,00 $
  • Brunate Michele Chiarlo Barolo 2004 – 64,00 $
  • Serralunga d’Alba Fontanafredda Barolo 2004 – 49,00 $